Il y a ton sourire qui s'élève
C’est comme une lueur d’espoir
Il y a l’ombre et la lumière
Au milieu notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s’en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c’est fini
Il y a le vent de nos sanglots
Qui souffle pour une amnistie
Mais rien n’arrêtera la lutte
Rien ne séchera cette pluie
Non rien ne finira la chute
Car rien ne finit l’infini
Rien ne desserrera nos mains
Rien n’éteindra l’éphémère
Nous forcerons, oui nous forcerons nos destins
Puis nous perceront les mystères
Il y a les lois de l’empire
Et les trous noirs dans ma mémoire
Il y a le meilleur et puis le pire
Au milieu notre trajectoire
Combien tu vends ta liberté,
Dis, combien tu vends ta poésie
Moi j’ai même vendu mon âme au diable, pour ton sourire
Puisque tout est aléatoire
Dans le chaos des univers
Puisque insoluble est la réponse
Et puisque déjà me manque l’air
Et qu’importe les directions
Jusqu’au delà de la limite
Tous les chemins mènent à tes yeux
Tous les chemins mènent à la fuite
Rien ne desserrera nos mains
Rien n’éteindra l’éphémère
Nous forcerons nos destins
Nous perceront les mystères
Rien ne desserrera ces poings
L’univers, l’univers
Nous retrouverons nos chemins
Nos idées puis l’univers
Il y a ton sourire qui s'élève
C’est comme une lueur d’espoir
Il y a l’ombre et la lumière
Au milieu notre trajectoire, oui
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s’en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits.
SAEZ- il y a ton sourire...
Jeudi 4 février 2010 à 18:02