U n m a n q u e ..trés mal comblé.
[ C'est pas de la drogue...
c'est de la coke.]
Dimanche 14 juin 2009 à 15:14
Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés,
ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité,
par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent.
En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et se confondent l'une en l'autre,
d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes.
Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant:
«Parce que c'était lui,
ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité,
par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent.
En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et se confondent l'une en l'autre,
d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes.
Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant:
parce que c'était moi.»
- Montaigne -
Jeudi 21 mai 2009 à 22:44
J'ai cette musique dans la tete,
elle me rend étrange, passage de l'euphorie aux pleurs
et de l'angoisse a un soulagement,
comme si elle stimulait mes émotions,
comme si l'integralité de cette oeuvre
m'en faisait voir de toutes les couleurs...
et puis au final c'est des nuances de gris
qui s'inscrivent dans mon coeurs
rien de plus,
qui insistes sur la solitudes de mon coeur,
mettant l'accent sur ce passé, que je tente d'oublier.
A quoi bon vouloir s'en détacher,
il suffit juste d'écouter encore et encore,
de dessiner, de rever
pour ne pas sombrer.
je ne sombrerai pas, je partirai...
comme si l'integralité de cette oeuvre
m'en faisait voir de toutes les couleurs...
et puis au final c'est des nuances de gris
qui s'inscrivent dans mon coeurs
rien de plus,
qui insistes sur la solitudes de mon coeur,
mettant l'accent sur ce passé, que je tente d'oublier.
A quoi bon vouloir s'en détacher,
il suffit juste d'écouter encore et encore,
de dessiner, de rever
pour ne pas sombrer.
je ne sombrerai pas, je partirai...
Mardi 17 mars 2009 à 21:23