une nuit de plus restée éveillée...
Faut rêver,y croire et s'accrocher et persister
Se battre et transpirer
Et cogiter
Faut rêver,y croire et s'accrocher et persister
Se battre et transpirer
Et cogiter
Vendredi 14 janvier 2011 à 14:30
J'en veux pas moi de tout ça,
j'ai jamais demander qu'on me mette sur une chariote et qu'on gère ma vie,
évidement j'ai eu besoin de repère afin de ne pas être déconnectée de la réalité,
mais cette réalité que vous me montrez tous n'est pas celle que je veux.
j'veux pas qu'on m'étouffe pour rentrer dans un moule,
ni même me sentir forcé pour réussir ma vie,
j'ai besoin de communication mais aussi qu'on essaye un minimum de m'comprendre,
c'est pas si dur, mes envies et principes ne sont pas ceux d'un fou.
Mais c'est comme ça qu'vous m'voyez, j'peux plus supporter ça,
j'en ai fait des efforts, j'ai pris sur moi,
les concessions et les pleurs ont été mon rythme de croisière,
pour au final entendre que cela n'a rien changé face a vous ?
J'voudrais juste, un jour ou l'autre que vous preniez en compte mon opinion,
mes choix, mes idées, ma personnalité.
Est ce si dur que ça d'accepter que je ne suis pas comme vous l'espériez?
Lundi 10 janvier 2011 à 20:42
[
Quand le besoin de perte de notions se fait sentire, cela veut bien dire que plus rien ne vas.
Je t'aime droguée, défoncée, shootée, pérchée, cokée, bourrée, saignée, déséspérée, pétée,
mais au grand jamais je ne t'aimerais pour ce que tu es.
Te croyant aimée tu seras baisée.
]
Quand le besoin de perte de notions se fait sentire, cela veut bien dire que plus rien ne vas.
Je t'aime droguée, défoncée, shootée, pérchée, cokée, bourrée, saignée, déséspérée, pétée,
mais au grand jamais je ne t'aimerais pour ce que tu es.
Te croyant aimée tu seras baisée.
]
B. dans toute sa splendeur
Je t'aime, mais heureusement je ne suis jamais tombée dans ton piège sentimental !
Je t'aime, mais heureusement je ne suis jamais tombée dans ton piège sentimental !
Vendredi 7 janvier 2011 à 13:18
Il est difficile d'être optimiste
Et c'est reparti . . .Les coups de blues, les nuits a regarder le plafond,et lorsque mes yeux se ferment les images m'affolent. les non-dits ressurgissent, les pleurs suivent sans tarder,
le maquillage cache les cernes, la faim se coupe, la musique s'arrete et les cris la remplace.Si seulement le monde n'était pas aussi répugnant et si seulement les individus ne l'était pas non plus . . .
quant on sait que l'on va étouffer .
Et c'est reparti . . .Les coups de blues, les nuits a regarder le plafond,et lorsque mes yeux se ferment les images m'affolent. les non-dits ressurgissent, les pleurs suivent sans tarder,
le maquillage cache les cernes, la faim se coupe, la musique s'arrete et les cris la remplace.Si seulement le monde n'était pas aussi répugnant et si seulement les individus ne l'était pas non plus . . .
quant on sait que l'on va étouffer .
Jeudi 6 janvier 2011 à 21:35